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LE PRINCE ET LE VOLEUR
création 2018 (nouvelles dates bientôt)
« Il était une fois, dans un pays qui n’était pas en guerre, un enfant qui avait deux amis : un riche et un pauvre ; un soir, celui qu’on appelait l’enfant décida d'inviter ses amis à sa table. Voici ce qu’ils s’y dirent… »
Le Prince et le Voleur est un monologue hanté qui prend son origine dans une histoire personnelle et des faits avérés.
Dans mon adolescence, j'ai entretenu une amitié parallèle avec deux garçons: l’un, héritier d'une des plus grandes fortunes françaises, aujourd'hui devenu PDG du premier groupe mondial de communication, et l'autre, jeune de banlieue tête brûlée, recroisé çà et là depuis, entre histoires louches et jobs foireux, insaisissable et grave tendu, toujours vivant en périphérie. A l'origine, je voulais créer un spectacle avec eux (mon goût pour les "non-acteurs" sur un plateau dit de Théâtre). Cette rencontre n'a pu se faire. De cette déception initiale et de leur absence, est née une histoire, un conte qu'on dirait au coucher; un conte qui parlerait d'un enfant et d'un pays troublés, obsédés par leur quête d'identité.
GENERIQUE
Texte et jeu : Pierre-Vincent Chapus
Avec la participation amicale de Madame Danielle Ajoret
Musique et environnement sonore : Jérôme Baillet
Lumière : Elsa Perrot
Complicités : Fleur Sulmont et Louise Blachère
Crédit photos : Hélène de Grandpré
Production : La Ferme du Bonheur
Remerciements : L'Annexe du Train de Vie
Représentations passées :
Décembre 2019 et été 2020 : La Ferme du Bonheur (Nanterre)
Février 2020 : L'Annexe du Train de Vie (Romainville)
"C'est en été . Lui et moi sommes réfugiés dans la rue du Phare pour essayer des armes. Le tranchant d'un couteau, un pistolet de défense, un briquet et un aérosol. Le choc et l'effroi."
...
"Toujours choisir ! Les pères qui aident les fils ou les pères que les fils aident ? Les enfants qui attirent les richesses ou les enfants que les richesses attirent ? Les hommes qui effraient les femmes ou les hommes que les femmes effraient ?"
...
"Coup de théâtre ! Quelqu'un sonne. Ce sont eux ! Ma coiffure. J'ouvre la porte. Ciel ! Mon dealer. Déception. Et moi qui m'étais faite très belle... Je deviens folle, je devrai me détendre."